Jamais sans…
mes chaussures de course !

As-tu déjà vu Guy De Meersman marcher d’un pas léger dans les couloirs ? Découvre ici pourquoi ses chaussures de course lui tiennent tellement à cœur.

Bonjour Guy, pourquoi as-tu choisi cet objet ?

« Il y a huit ans, j’ai remarqué que je me retrouvais essoufflé rien qu’en montant les escaliers. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de changer les choses. J’ai d’abord suivi un régime pour atteindre un poids santé, puis je me suis mis à courir. J’avais alors 47 ans. Ce qui a commencé comme une façon d’améliorer ma condition physique est devenu un véritable mode de vie. Je cours désormais deux marathons par an et j’ai, entre autres, participé à ceux de Berlin et de Copenhague avec des collègues d’Elia. Copenhague était déjà mon 13e marathon. Chaque fois, cela demande douze semaines d’entraînement intensif. Durant ces semaines exigeantes, la distance parcourue augmente progressivement jusqu’à atteindre des pics de 90 km par semaine. Pendant les périodes de récupération, je maintiens ma forme en courant trois ou quatre fois par semaine. »

 

La course à pied est très accessible. On sort simplement de chez soi et on démarre. Pas besoin de s’inscrire dans un club de sport, il n’y a pas d’horaires fixes et, à part une bonne paire de chaussures de course, il ne faut presque rien d’autre. En semaine, je cours généralement le soir, en rentrant du travail. Cela m’aide aussi à déconnecter et à vider ma tête. Je fais alors en général un parcours de 10 km. Le week-end, je cours 20 km. Je pars tôt, vers 6 h 30. Quand je reviens, le reste de la famille commence à peine à se réveiller. Ils n’en sont donc pas gênés !

Peux-tu nous en dire plus sur ton travail chez Elia ?

J’ai commencé chez Elia sur le terrain en tant que technicien, puis j’ai évolué vers le poste de chef d’équipe, ensuite de contremaitre, et aujourd’hui je suis Adjoint Maintenance. À partir de janvier, un nouveau défi m’attend au sein de l’OCE (Operational Center of Excellence).

 

Dans ma fonction actuelle, je veille à ce que la maintenance des installations soit correctement réalisée et que les activités se déroulent de manière uniforme dans les différentes zones. Concrètement, cela implique pas mal de travail administratif et de réunions, et donc moins de présence sur le terrain. Mais j’essaie tout de même de m’accorder un moment pour me dégourdir les jambes chaque heure. On me verra rarement prendre l’ascenseur : je privilégie délibérément le mouvement !