« Gravir les échelons, de la dispatching jusqu’au poste d’adjoint·e au CEO ? Chez nous, tout est possible. »

Chez Elia, tous les talents ont l’opportunité de se développer et d’évoluer

Frédéric Dunon en est la preuve vivante. Il y a 22 ans, cet ingénieur civil a débuté sa carrière à la dispatching régionale chez le gestionnaire du réseau de transport. Aujourd’hui, il veille, en tant que Deputy CEO, à la sécurité d’approvisionnement dans notre pays. « Chez nous, les talents peuvent réellement prendre leur carrière en main », témoigne également Anne Van Houtven, qui débute actuellement un traineeship pour ingénieur·e·s.

Le gestionnaire de réseau de transport Elia joue un rôle central sur le marché de l’électricité, tant au niveau national qu’international. En tant qu’acteur unique en Belgique, l’organisation assure l’entretien et le développement de notre infrastructure haute tension, tout en garantissant l’équilibre entre l’offre et la demande en électricité. Notre pays compte parmi les mieux interconnectés d’Europe sur le plan électrique. Outre les interconnexions avec tous nos voisins, le réseau électrique en mer du Nord est également en plein essor.

Un département, de nombreuses possibilités

« J’ai commencé ma carrière chez Elia en 2001 », raconte Frédéric Dunon, Deputy CEO chez Elia Transmission Belgium. « J’ai traversé de nombreux départements, du support au dispatching et à l’audit interne jusqu’au développement du réseau. Finalement, j’ai rejoint le département Assets, responsable de la maintenance de l’infrastructure haute tension et axé sur la gestion des actifs. » C’est là qu’il est devenu Chief Assets Officer, encadrant durant les huit dernières années plus de 400 technicien·ne·s sur le terrain.

Au sein de ce même département, Anne Van Houtven suit actuellement un programme d’intégration unique, spécialement conçu pour les ingénieur·e·s. Pendant deux ans, elle découvre différentes disciplines opérationnelles à travers toute la Belgique. « Je travaille ici depuis un an », précise-t-elle. « Tous les six mois, je passe à un nouveau domaine clé : basse tension, haute tension, lignes et câbles, et enfin exploitation et dispatching. C’est exactement ce que je recherchais : ne pas faire uniquement du travail de bureau, mais être également présente sur le terrain. C’est là que se trouve ma passion. »

 

Programme d’intégration précieux pour débutant·e·s

Grâce à son exposition à différents aspects de l’entreprise, Anne peut rapidement acquérir des bases solides et diversifiées. « Six mois par activité, cela passe très vite. Avant même de m’en rendre compte, une nouvelle aventure passionnante m’attend déjà. » Au cours de son traineeship, elle acquiert, via le département MAC (Maintenance Assessment & Commissioning), de l’expérience tant dans la maintenance des installations que dans la construction et le test de nouveaux systèmes.

‘ Il s’agit d’un programme d’intégration très précieux », explique Frédéric Dunon. « Les ingénieur·e·s découvrent progressivement l’ensemble de nos activités opérationnelles. Cela leur permet d’acquérir une compréhension pratique du travail de nos technicien·ne·s sur le terrain et de bien saisir comment tout fonctionne concrètement. »

Opportunités de développement et perspectives d’évolution
Depuis la fin de l’année dernière, Frédéric Dunon occupe le poste d’adjoint au CEO chez Elia Transmission Belgium. « Quand j’ai commencé ici, je n’aurais jamais imaginé occuper, quelques années plus tard, la fonction que j’ai aujourd’hui. » Il en est la preuve vivante : tout est possible. Chez Elia, chacun·e a le temps d’apprendre, de se développer et, s’il ou elle le souhaite, de sortir de sa zone de confort pour changer de fonction.

Anne Van Houtven a également l’opportunité de développer à la fois une compréhension pratique du métier et des compétences en management, accompagnée par des coachs. « Je constate qu’Elia valorise réellement les talents de ses collaborateur·rice·s et investit dans leur développement. On met à notre disposition une boîte à outils pour nous permettre de nous épanouir pleinement et de donner le meilleur de nous-mêmes. En tant qu’employeur, cette entreprise sait remarquablement bien ce dont ses équipes ont besoin. »

Du poste de débutante à la fonction managériale
Anne Van Houtven trouve stimulant de se voir confier, dès le début, des responsabilités pour développer différents projets. Pour cela, elle peut toujours compter sur le soutien et les conseils d’un·e expert·e. « Il existe également un réseau de jeunes starters. Les collaborateur·rice·s qui ont déjà terminé le programme partagent leurs conseils et astuces avec celles et ceux qui y participent actuellement. »

Les défis climatiques sont devenus encore plus cruciaux. « Nous contribuons à relever ces défis. Nous permettons la transition énergétique en développant des systèmes électriques diversifiés, durables et fiables, aussi bien sur terre qu’en mer », explique-t-on. « Il est fort probable que la consommation d’électricité en Belgique augmente de 40 % au cours des dix prochaines années. Mais comme l’énergie éolienne et solaire est volatile, il est nécessaire de développer des systèmes complémentaires et des solutions flexibles pour assurer la stabilité et la fiabilité de l’approvisionnement. »

‘ La pertinence sociétale de mon métier est sans aucun doute un atout majeur », souligne Anne Van Houtven. « Je trouve cela fascinant de réfléchir aux défis énergétiques de demain et à la manière dont nous pouvons les relever de la façon la plus optimale et efficace possible. Ce qui me motive aussi, c’est que les nouvelles technologies et innovations sont intégrées de façon harmonieuse dans ces solutions. »

Du poste de débutante à un rôle de management
Anne Van Houtven trouve stimulant de recevoir directement des responsabilités pour développer des projets. Pour cela, elle peut compter sur l’accompagnement et les conseils d’un·e expert·e. « Il existe également un réseau de jeunes starters. Les collaborateur·rice·s qui ont déjà suivi le programme partagent conseils et astuces avec celles et ceux qui y participent actuellement. »

ll est encore trop tôt pour elle de savoir si elle ambitionne réellement d’évoluer jusqu’au poste d’adjointe CEO. Elle considère néanmoins sa carrière chez Elia comme une aventure très dynamique. « Grâce au programme, je découvre ce qui me plaît, dans quoi j’excelle et les domaines où je peux encore progresser, » explique Van Houtven. « À l’issue du programme, je pourrai postuler en interne pour une fonction qui me correspond parfaitement, et continuer à évoluer vers un rôle de management si je le souhaite. »

L’ingénieur·e de demain
À quoi ressemblera Elia en tant qu’employeur en 2030 ? Frédéric Dunon : « Dans les années à venir, nous évoluerons encore davantage vers une organisation caractérisée par une grande diversité au sein de nos équipes. Le simple fait d’avoir plus de femmes sur le terrain et dans d’autres départements constitue déjà un véritable enrichissement culturel. En outre, notre effectif continuera de croître. Aujourd’hui, nous comptons 1 500 employé·e·s, mais nous recherchons encore 600 talents supplémentaires pour les cinq prochaines années. »

Et quelles seront les compétences nécessaires pour l’ingénieur·e de demain ? « L’ingénieur·e du futur jouera un rôle encore plus fédérateur que maintenant », conclut Anne Van Houtven. « Il ou elle ne sera pas seulement un·e expert·e technique, mais participera aussi à la co-création, travaillera de façon multidisciplinaire et saura communiquer facilement et efficacement avec les autres. Bref, il ou elle devra disposer d’un solide ensemble de compétences relationnelles (soft skills) et d’une connaissance polyvalente. »

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