Jamais sans…
mon casque de vélo !

As-tu déjà vu Olivia Geels arriver à Monnoyer avec son vélo et son casque assorti ? Ce n’est pas une question de mode ! Découvre ici pourquoi le vélo (et le casque) d’Olivia lui sont si chers.
Bonjour Olivia, pourquoi as-tu choisi cet objet ?
Je viens toujours au travail à vélo. Et oui, cela implique aussi de porter un casque. Surtout à Bruxelles, où circuler à vélo dans la circulation dense peut être assez dangereux. Depuis chez moi, je mets 25 minutes pour rejoindre Monnoyer. J’habite à Etterbeek. À l’aller, c’est en descente, mais le soir je dois monter pour rentrer à la maison. Pour l’instant, je ne trouve pas nécessaire d’avoir un vélo électrique. Mais si jamais nous déménageons en périphérie, il faudra peut-être que je reconsidère la question.
Une voiture de société n’est pas nécessaire pour moi. À Bruxelles, je fais tous mes déplacements à vélo. Et mon mari a une voiture, ce qui est pratique quand nous voulons quitter Bruxelles pendant le week-end ou pour les vacances. Il est important pour moi de vivre autant que possible selon mes valeurs personnelles. Prendre soin de l’environnement en fait partie : en allant au travail à vélo, mais aussi en faisant mes courses sans emballage, j’essaie de faire ma part. Si je dois me déplacer pour le travail, j’utilise une voiture de pool d’Elia.
Qu’est-ce qui te motive dans ton travail ?
Je suis bio-ingénieur de formation et passionné de nature. Depuis plusieurs années, j’ambitionne de jouer un rôle dans la préservation de l’environnement. Dans mon premier emploi dans un bureau d’études, j’analysais l’impact environnemental des projets menés par d’autres. Ici, chez Elia, je peux moi-même piloter des projets qui ont un véritable impact sur le terrain. Cela fait un an que je travaille ici, et il est évident qu’Elia consacre de nombreux efforts et ressources à devenir plus durable. Ce n’est absolument pas du greenwashing !
Un des projets que je mène concerne l’amélioration de la visibilité des lignes à haute tension pour les oiseaux. Je poursuis également le travail de mon prédécesseur concernant les corridors écologiques en zones forestières. Au lieu d’enlever complètement la végétation, nous privilégions la plantation de petits arbustes qui ne gênent pas les lignes à haute tension, ou bien nous transformons ces espaces en prairies qui apportent une réelle valeur ajoutée à la biodiversité locale. Et ce ne sont là que quelques exemples parmi de nombreux autres projets. Ce sont peut-être de petites étapes, mais je suis convaincu que la somme de tous ces efforts fait réellement la différence.